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BIEN MANGER : Le bouillon d’os… Véritable fontaine de Jouvence!

BIEN MANGER : Le bouillon d’os… Véritable fontaine de Jouvence!

Et si, cette année, on ne faisait qu’un seul petit changement dans notre vie? Un petit changement qui aurait un impact majeur et qui pourrait nous apporter les nutriments et le collagène dont notre corps a tant besoin. Un petit changement qui est simple à faire, qui ne coute pas cher et qui est hyper efficace…  

Par Jocelyna Dubuc, présidente, Spa Eastman

Avec de petits changements, je vous garantis plus d’énergie et de vrais nutriments, car après tout, on est un laboratoire unique dont on doit s’occuper de la bonne façon et être gentil avec lui! Alors qu’est-ce que c’est? Le bouillon d’os !

Une tradition qui vient de loin!
Il faut savoir que nos grands-mères, nos arrière-grands-mères, nos ancêtres, toutes civilisations confondues, faisaient du bouillon d’os à moelle. On ne jetait pas les os comme on le fait aujourd’hui. C’est comme si on jetait à la poubelle un immense pot de collagène rempli de nutriments facilement assimilables.

Nos articulations, nos tendons, nos os, nos cheveux, nos ongles et notre peau raffolent du collagène, de ses minéraux et nutriments. Vous savez, cette délicieuse « gelée » qui a l’air d’un jello salé : c’est le collagène dont je vous parle. Lorsqu’on vieillit, on est en perte de collagène; la peau se flétrit, les cheveux tombent et nos muscles perdent du tonus. On a donc besoin de cet élixir plus que jamais.

Ce que la recherche en dit?
Un bouillon d’os est donc à la fois simple et intemporel. C’est comme un retour aux sources plus facile à faire que ce que vous pouvez en penser. Sans oublier que les bénéfices pour votre santé sont surprenants, bien qu’ils aient été ignorés ces dernières années. Des études sur le bouillon d’os ont prouvé qu’il peut améliorer la santé de multiples façons. La présence de certains acides aminés dans le bouillon d’os, comme l’arginine, la glutamine et la cystéine, peut améliorer l’immunité chez les humains et les animaux. 

Version intégrale du texte dans le numéro où est paru cet article

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